Le Département a fait le choix d’investir massivement et d’accompagner au quotidien l’éducation, les associations sportives et culturelles pour que l’Essonne, où que vous habitiez, soit un département où il fasse bon grandir et s’épanouir.
La jeunesse d’abord
Le Département a placé l’année 2022 sous le signe de la jeunesse.
«Les jeunes ont particulièrement souffert du confinement lié à la crise sanitaire. Même s’ils ont une grande capacité à s’adapter et à rebondir, il est de notre devoir, parce qu’ils sont notre avenir, de les associer davantage à nos prises de décisions », indique Sylvie Gibert, présidente déléguée en charge de la jeunesse. Comment ? En organisant des Assises de la jeunesse. « On a voulu être dans une démarche de co-construction pour proposer une nouvelle politique jeunesse qui ressemble aux 12-25 ans Essonniens et qui réponde à leurs attentes », précise Sandrine Gelot, vice-présidente en charge du secteur. Après un recueil des besoins via des questionnaires, des ateliers participatifs ont été organisés entre janvier et février. Au total, près de 5 000 personnes ont répondu, dont 2 160 jeunes. De ces ateliers ont émergé quatre grandes orientations : accompagner l’autonomie individuelle, décloisonner les jeunesses, soutenir les plus fragiles et appuyer les professionnels. Sur cette base va être élaborée la future politique de la jeunesse qui sera votée à l’automne. En attendant, les jeunes ont pu participer au Plan de l’été, grande soirée festive et musicale au Plan – salle mythique ! - à Ris-Orangis le 2 juillet, en clôture des Assises de la jeunesse.
Sylvie Gibert
Présidente déléguée en charge de la jeunesse
Sandrine Gelot
Vice-présidente en charge de la culture, des sports, de la jeunesse et de la vie associative
3 nouveaux collèges et un partenariat renforcé avec l’université Paris-Saclay
Pour faire face aux évolutions démographiques et accueillir les élèves dans les meilleures conditions possibles, le Département a acté en octobre 2021 la construction d’un collège à Gif-sur-Yvette (42,8 M€ pour une capacité de 600 élèves), Fleury-Mérogis (34,24 M€ pour une capacité de 800 élèves) et Wissous (42 M€ pour une capacité de 800 élèves). « Nous allons également poser la première pierre du futur collège de Massy d’ici la fin de l’année dans le quartier de Vilgénis », complète Jérôme Bérenger, vice-président en charge des collèges et de la réussite éducative. Chargé aussi de l’entretien des 100 établissements essonniens et de la restauration scolaire, le Département s’engage davantage pour la réussite des élèves. Depuis la rentrée 2021, des créneaux leur sont désormais réservés à la MISS (Maison d’initiation et de sensibilisation aux sciences) située sur le campus de la Faculté des sciences d’Orsay, fruit d’un partenariat renforcé avec l’université Paris-Saclay, classée dans le top 20 mondial.
« Des médiateurs bien-être scolaire vont être déployés dans des collèges tests du Département. L’objectif est d’assurer une continuité entre les missions de l’Éducation nationale et des communes et lutter contre les rixes. L’installation de distributeurs de protections périodiques bio, expérimentée l’an dernier avec succès dans 15 établissements contre la précarité menstruelle, va se poursuivre », conclut l’élu.
Jérôme Bérenger
Vice-président en charge des collèges et de la réussite éducative
Fabuleux Fabulab 91 !
Tiers-lieu mobile, le FabuLab 91 s'installe en résidence au cœur des villes et villages du sud-Essonne pour amener l’innovation numérique à la portée de tous les Essonniens. « Notre objectif est de permettre aux habitants en milieu rural de découvrir la fabrication numérique. Nous leur donnons les moyens de fabriquer leurs projets eux-mêmes, d’apprendre et de partager, déclare Sandrine Gelot, vice-présidente en charge de la culture. Un médiateur les accompagne et leur explique comment utiliser les machines numériques ou traditionnelles. » Ce dispositif départemental itinérant a été inauguré en mai à la bibliothèque Raymond Queneau de Limours-en-Hurepoix.
Sandrine Gelot
Vice-présidente en charge de la culture, des sports, de la jeunesse et de la vie associative.
Le Stade Bobin se fait beau pour les JO
Avec ses 18 850 places assises dont 4 500 couvertes, sa piste de 400 m et ses 8 couloirs, ses aires de sauts et de lancers et son terrain engazonné de 117 mètres sur 73, le stade Robert Bobin est un équipement sportif phare en Essonne. Rien d’étonnant donc à ce qu’il ait été retenu comme Centre de préparation aux Jeux de Paris 2024, aux côtés d’une dizaine d’autres sites sportifs essonniens. Il pourra donc accueillir les délégations du monde entier à partir de 2023, le temps d’un stage de préparation ou comme base arrière pendant les Jeux, pour les disciplines suivantes : football, athlétisme, rugby à 7 et paraathlétisme. « En tant que collectivité Terre de Jeux 2024, nous rénovons l’ensemble des aires sportives pendant l’été afin de répondre au mieux à ces enjeux », annonce Yann Pétel, président délégué en charge des sports. La rénovation consiste à ré-engazonner le stade et à reprendre la piste d’athlétisme. Elle représente pour le Département un investissement de près de 2 M€.
Yann Pétel
Président délégué en charge des sports
