Le nouveau tourisme s’écrit ici
Dès le mois de juillet, les Essonniens et Franciliens vont découvrir un manifeste pour les inciter à repenser leur façon de voyager, à « partir moins loin, mais plus souvent », à « changer d’air sans polluer » et surtout à « découvrir qu’à moins d’une heure de Paris, on peut se donner rendez-vous en pleine nature, ou au musée » et « se dépenser, sans trop dépenser », en famille ou entre amis. « Il y a un nouveau tourisme malin et responsable à inventer, venez l’écrire avec nous » conclut ce plaidoyer.
Cette campagne de communication sera visible dans les médias, sur les réseaux sociaux de la collectivité, aux abords des gares et sur les quais, sur les abribus départementaux ou encore dans le métro parisien. « Avec les campagnes "Sentez-vous loin près de chez vous", "Le bonheur est dans le près", "Innovants pour très longtemps" et "Fiers d’être Essonniens", nous avons engagé une démarche pour redonner à l’Essonne l’image qu’elle mérite, loin des clichés, d’abord auprès de ses habitants, puis hors de ses frontières, pour inciter les Franciliens qui ne connaissaient pas ce territoire à venir découvrir ses atouts touristiques, historiques, culturels, environnementaux ou encore économiques», explique François Durovray, Président du Département de l’Essonne.
Découvrir l’Essonne
Jardins, musées, patrimoine historique, culturel ou naturel... À quelques dizaines de kilomètres de Paris, l’Essonne propose de nombreux sites patrimoniaux remarquables et uniques. Les deux villes médiévales que sont Dourdan et Etampes proposent fortifications et autres vestiges remarquables du Moyen-Âge. Les domaines départementaux de Chamarande, de Méréville ou encore celui de Montauger attestent de l'intérêt que ce territoire possède en matière de patrimoine naturel. De façon idéale, son paysage combine de larges espaces préservés avec de nombreuses forêts et cours d'eau. Les rendez-vous nature de l’été permettront de découvrir les trésors cachés de l'Essonne.
D'autres lieux rendent compte de l'attachement viscéral d'artistes et de personnages historiques au territoire essonnien : la Maison Cocteau de Milly-la-Forêt, la Maison-atelier du peintre Léonard Tsuguharu Foujita à Villiers-le-Bâcle ou encore la Maison littéraire de Victor Hugo au domaine des Roches. Des sites historiques ou culturels méritent aussi le détour comme le Cyclop, oeuvre démesurée de Jean Tinguely et de Niki de Saint Phalle, niché dans la forêt de Milly ou encore le cimetière et l'église orthodoxe de Sainte-Geneviève-des-bois. Difficile dans ce court panorama de ne pas citer les sites ou musées originaux qui chamarrent l'Essonne. Le musée volant Salis de Cerny, la verrerie d'art de Soisy-sur-École, le musée français de la photographie de Bièvres et pour finir le Conservatoire national des plantes à parfum, médicinales, aromatiques de Milly-la-Forêt.
Le manifeste de la nouvelle campagne de communication :
C’est vrai,
on peut continuer à voyager comme avant.
Passer des heures dans les bouchons, à entendre
« On arrive quannnnd ? » toutes les 10 minutes.
Et se retrouver au même endroit, comme chaque année.
On peut continuer à faire comme tout le monde.
Les mêmes photos, les mêmes stories, les mêmes hashtags.
Et s’entendre dire « Ils nous bassinent avec Arcachon ! ».
Ou alors, on peut repenser sa façon de voyager.
Partir moins loin, mais plus souvent.
Prolonger les week-ends, et leur donner un air de vacances.
Crier de joie « Ça capte pas ! » et déconnecter entre amis.
Changer d’air sans polluer, et pouvoir enfin se vanter
de ne pas avoir le permis.
Découvrir qu’à moins d’une heure de Paris, on peut
se donner rendez-vous en pleine nature, ou au musée.
Se retrouver en famille, parce que c’est essentiel.
Éteindre les consoles, pour une vraie partie de foot.
Et montrer aux enfants que maman joue mieux que papa.
Se dépenser, sans trop dépenser.
Ouvrir de nouvelles voies hors des sentiers battus.
Il y a un nouveau tourisme
malin et responsable à inventer.
Venez l’écrire
avec nous.
