Il jouera à guichets fermés à l’Olympia le 1er avril. A cinquante ans et des poussières, Bénabar est un artiste comblé. Depuis plus de vingt ans, ses albums séduisent toujours autant, son sens de l’humour, de l’auto-dérision et de la formule aussi. Actuellement en tournée avec son album « Indocile heureux », l’auteur-compositeur-interprète revient aux sources et évoque son enfance intrinsèquement liée à l’Essonne.
Né à Thiais en 1969, il arrive à « trois ou quatre mois » à Saintry-sur-Seine – où ses parents vivent toujours -, près de Corbeil-Essonnes. Le petit Bruno y restera jusqu’à ses 17 ans. Un pan de vie et des souvenirs de jeunesse à foison, tous liés à notre Département : « Je ne suis pourtant pas un nostalgique mais dans ma boîte à souvenirs, l’Essonne est partout. J’ai fait une chanson qui s’appelle ’4 murs et un toit’, c’est la maison de mes parents à Saintry. C’est aussi simple que ça. J’aime la vallée de la Seine, les quais, c’est très beau. J’y vais courir quand je fais du footing » confie-t-il.
